Complément : La vitesse relative
Pour qu'il y ait une force de portance, il faut donc qu'il y ait un écoulement d'air au dessus et au dessous de l'aile. C'est à dire que l'oiseau ou le planeur ait une vitesse non nulle par rapport à l'air. C'est ce que l'on appelle la vitesse relative par rapport à l'air.
Remarque :
La vitesse par rapport à l'air peut-être non nulle alors que dans le même temps, la vitesse par rapport au sol peut-être nulle, comme dans le cas du cerf-volant ou du décollage de l'albatros.
Dans ce cas, la vitesse relative par rapport au sol est nulle.
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La trainée
Lorsque l'oiseau possède une vitesse relative par rapport à l'air non nulle, cela signifie que l'air s’écoule sur son plumage et provoque un frottement.
Ce frottement engendre une troisième force, qui agit sur le vol de l'oiseau ou de l'appareil. Cette force est toujours parallèle à la trajectoire.
Placez maintenant cette troisième force sur le schéma de l'albatros (travail n°2). Nommez cette force.
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